Dans le domaine des affaires, il est souvent difficile d’avoir le soutien de la direction lorsqu’il est question de projet impliquant des dépenses puisque les ressources financières sont toujours limitées. Il est d’autant plus difficile lorsque ces dépenses ne sont pas reliées à un objet pouvant être vendu pour générer des bénéfices.
La Van (Valeur Actuel Nette)
La Van est un élément important qui possède les caractéristiques pour nous permettre de faire comprendre aux gestionnaires d’une entreprise l’importance d’une bonne gestion du stress. Puisqu’une diminution du stress global entraîne généralement une augmentation de productivité et une diminution des jours d’absentéisme, nous pouvons montrer les effets monétaires qu’aurait un possible investissement visant à diminuer le stress en se basant sur les résultats obtenus dans des entreprises semblables. La Van permettrait de voir l’impact des économies réalisées par la diminution des jours d’absentéisme, les gains générés par l’augmentation de la productivité et de savoir la valeur total du projet dans son ensemble.
Analyse coût-bénéfice
L’analyse coût-bénéfice est un outil pouvant nous servir à déterminer le seuil de rentabilité d’un investissement. Cet outil peut aider les entreprises à comprendre les risques associés à un investissement en comparant les résultats attendus aux changements minimum requis pour que l’investissement soit bénéfique pour l’organisation.
La comptabilité par activités
La comptabilité par activité aide les compagnies à séparer avec une plus grande précision les coûts associés à un produit en fonction des activités consommées par le produit. Dans le domaine de la gestion du stress, cette comptabilité pourrait donner de l’information intéressante concernant l’impact du stress sur le coût de revient des produits et services de la compagnie. Ainsi, certains produits ou services qui sont considérés comme rentables peuvent, en fin de compte, être non rentables en conséquence du stress y étant associé. Les gestionnaires pourraient voir en termes de perte de valeur unitaire les coûts d’une gestion du stress inadéquats.
La Van (Valeur Actuel Nette)
La Van est un élément important qui possède les caractéristiques pour nous permettre de faire comprendre aux gestionnaires d’une entreprise l’importance d’une bonne gestion du stress. Puisqu’une diminution du stress global entraîne généralement une augmentation de productivité et une diminution des jours d’absentéisme, nous pouvons montrer les effets monétaires qu’aurait un possible investissement visant à diminuer le stress en se basant sur les résultats obtenus dans des entreprises semblables. La Van permettrait de voir l’impact des économies réalisées par la diminution des jours d’absentéisme, les gains générés par l’augmentation de la productivité et de savoir la valeur total du projet dans son ensemble.
Analyse coût-bénéfice
L’analyse coût-bénéfice est un outil pouvant nous servir à déterminer le seuil de rentabilité d’un investissement. Cet outil peut aider les entreprises à comprendre les risques associés à un investissement en comparant les résultats attendus aux changements minimum requis pour que l’investissement soit bénéfique pour l’organisation.
La comptabilité par activités
La comptabilité par activité aide les compagnies à séparer avec une plus grande précision les coûts associés à un produit en fonction des activités consommées par le produit. Dans le domaine de la gestion du stress, cette comptabilité pourrait donner de l’information intéressante concernant l’impact du stress sur le coût de revient des produits et services de la compagnie. Ainsi, certains produits ou services qui sont considérés comme rentables peuvent, en fin de compte, être non rentables en conséquence du stress y étant associé. Les gestionnaires pourraient voir en termes de perte de valeur unitaire les coûts d’une gestion du stress inadéquats.
FIN PARTIE TROIS
Afin de compléter votre banque d'outils de comptabilité de gestion, nous proposons d'y ajouter le rendement sur capital investi. Dans le même sens que la valeur actualisée nette, une entreprise pourrait quantifier les économies générées par un investissement en gestion du stress. Ainsi, le choix d'investir ou non dans le projet dépendra de la rentabilité de celui-ci et du rendement exigé par les dirigeants. Le RCI serait donc défini ainsi : (Économies de coûts)/(Investissement)
RépondreSupprimerPar ailleurs, la formule de comptabilité par activité que vous proposez nous semble intéressante, pourrions-nous avoir davantage de précision sur ce concept?
Comme expliqué dans le premier apport les sources du stress sont diffuses. Il s’agit à mon sens de la première difficulté à laquelle va être confrontée l’entité qui cherche à évincer le stress. Il parait impossible de déterminer pour une personne salariée de déterminer avec précision si son stress est généré par sa vie personnelle ou son environnement. De plus, concernant les sources internes du stress, un salarié aura des difficultés à expliquer que son stress est généré par la méconnaissance de son employeur concernant ses taches, ou par la mauvaise définition de son travail. Le salarié en question pourrait craindre d’être enclin à des représailles, etc... Ainsi, la première difficulté pour l’entreprise consiste en définir la source du stress.
RépondreSupprimerParallèlement, le stress dans les sociétés génère une perte de productivité qui induit un coût. Le blog dénote les coûts directs et indirects. Je pense que les coûts directs, facilement identifiables, peuvent constituer un bon indicateur. Cependant, les coûts indirects liés au stress sont plus subtils et pourraient être perçus comme des coûts cachés. A mon sens, les entreprises ont tout intérêt à prendre en compte ces coûts non identifiés. A défaut, ils sont englobés dans les frais fixes de fabrication : Les budgets ne sont donc plus respectés.
Les méthodes proposées sont très intéressantes, notamment la VAN qui prendrait en compte l’investissement, la baisse du stress et de la productivité. Une autre méthode pourrait être intéressante. En considérant que le stress ne pourra jamais être éliminé totalement, (phénomène de mondialisation, concurrence, etc...) une entité pourrait utiliser une méthode dérivée du Target costing afin de définir un coût cible lié au stress. Il s’agirait ainsi d’utiliser la VAN pour déterminer le rapport coûts (investissement)/ avantages (hausse productivité) ainsi que le seuil de rentabilité afin d’investir pour atteindre le coût cible fixé. Ce coût cible ne serait plus caché et pourrait être inclu dans la comptabilité et les budgets de l’entité. Les limites seraient que les méthodes du type target costing induisent un stress. De plus, la cible des investissements nécessite de connaître les sources du stress à évincer ce qui parait compliqué.
Bloc 1 Matthieu Demonchy
Réponse question du BLOC 2 – Commentaire sur le Blogue 1
RépondreSupprimerJe crois que la principale préoccupation qui lie le blogue sur la gestion du stress à notre blogue sur le protocole de Kyoto est au niveau l’identification et de la comptabilisation de ces coûts à proprement dit.
On suggère souvent la comptabilité par activité comme outil de comptabilité lorsqu’une entreprise veut considérer les couts environnementaux. J’ai remarqué que la situation était la même pour les coûts relié à la gestion du stress. La raison de cette similitude est qu’une problématique semblable se pose dans ces deux cas.
Ces types de coût sont souvent inclus dans les différentes catégories de coûts de l’entreprise, principalement dans les frais généraux. Ces coûts sont alors considéré, mais afin de mieux diriger l’attention des gestionnaires sur leur importance, ceux-ci devraient être traités distinctement des autres coûts.
Si on pousse plus loin la problématique, les coûts doivent être alloués correctement aux produits, services ou activités auxquels ils se rattachent. Ils donneront ainsi la meilleure information possible sur la performance opérationnelle de l’entreprise en terme économique et constitueront une base d’information fiable pour la prise de décision. Cette situation est vrai autant pour les coûts environnementaux que pour les coûts liés à la gestion du stress.
Pour ce qui est des coûts environnementaux, Il est souvent préférable de modifier et de faire une meilleure utilisation des systèmes de gestion de coûts déjà en place dans l’entreprise, plutôt que d’en instaurer de nouveaux pour allouer les coûts environnementaux correctement. (Bennett & James) La modification du système doit cependant être faite de manière à ce que les frais environnementaux ne soient pas incorporés dans les frais généraux. Ceux-ci doivent être reliés directement à l’objet de coût. En isolant les coûts environnementaux, l’attention sera attirée sur leur importance et ils seront plus probablement considérés dans la prise de décision. Je crois qu’on pourrait proposer la même solution à une entreprise désirant distinguer les coûts liés au stress.
Une autre réalité qui lie les deux sujets est la présence prédominante de coûts liés à des externalités. Dans le cas de la gestion du stress, il peut s’agir de la qualité de vie perdu d’un employé à cause d’une maladie dû au stress et d’une maladie du à des émissions de GEF dans le cas des coûts environnementaux. Dans un cas comme dans l’autre, l’employeur n’assumera pas ces coûts, la société le fera. Mais advenant que l’entreprise se décidait à les considérer, l’évaluation de ceux-ci serait encore une fois dans les deux cas, très difficile à faire.
Véronique Guay
Je suis ici pour partager mon témoignage de ce qu'une bonne société de prêt de confiance a fait pour moi. Je m'appelle Nikita Tanya, de Russie et je suis une charmante mère de 3 enfants.J'ai perdu mes fonds en essayant d'obtenir un prêt, c'était si difficile pour moi et mes enfants, je suis allé en ligne pour demander une aide au prêt, tout espoir était perdu jusqu'à un jour fidèle où j'ai rencontré mon ami qui a récemment obtenu un prêt de Le_Meridian Funding Service.Elle m'a présenté cette honnête société de prêt qui m'a aidé à obtenir un prêt dans les 5 jours ouvrables.Je serai toujours reconnaissant à M. Benjamin, pour m'avoir aidé à me remettre sur pied. Vous pouvez contacter M. Benjamin par e-mail: lfdsloans@lemeridianfds.com, ils ne savent pas que je le fais pour eux, mais je dois le faire parce que beaucoup de gens ont besoin d'une assistance de prêt, s'il vous plaît venez dans cette entreprise et soyez sauvé. WhatsApp: (+ 1 989-394-3740)
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